1983 (#16) - La négociation avec Mergeron Corporation et la crise cardiaque de John

L'impossibilité de travailler et de diriger l'entreprise en raison de la blessure cause à Jack un grand sentiment d'échec. Bien qu'il n'ait jamais aimé son travail, Jack s'était habitué à commander au sein du Jabot, à se considérer comme un homme prospère, à travailler pour un objectif, celui de maintenir sa propre famille. Maintenant, Jack court le risque de ne plus pouvoir marcher, de ne plus avoir d'objectifs dans la vie et de ne plus vouloir se battre pour son entreprise. Quand Ashley reproche à Jack d'avoir trop négligé l'entreprise pendant sa présidence, l'homme sans trop raisonner décide de répondre à une mystérieuse offre d'achat de Jabot Cosmetics de la puissante Mergeron Corporation. La semaine suivante, lorsque le représentant de Mergeron Corporation, Eric Garrison, se présente devant Ashley l'informant qu'il est à Genoa City pour parler à John de la vente du Jabot, Ashley stupéfaite informe l'homme que son père n'a absolument aucun intérêt à vendre. son entreprise. À ce stade, c'est Eric qui est surpris, car Jack lui a fait comprendre le contraire. En apprenant la situation, et coincé par Eric rappelant à l'homme qu'il avait mobilisé la puissante Mergeron Corporation pour rien, John s'est fâché contre Jack pour ne rien lui dire. Jack se plaint qu'il est le président, bien qu'il ne soit pas actuellement en fonction, et qu'il ait donc le droit de prendre toute décision, mais tout comme le père et le fils se disputent ouvertement, ce qui entraîne des discours lourds comme être un père absent ou un fils indigne John tombe au sol subitement frappé par une crise cardiaque. Dès que Jack appelle à l'aide, une Ashley choquée n'en croit pas ses yeux et l'accuse de vouloir tuer leur père en ruinant leur mariage, leurs affaires et maintenant leur vie. Ensuite, il court à l'hôpital au chevet de son père, qui se bat entre la vie et la mort en raison d'une obstruction artérielle qui a nécessité une intervention chirurgicale immédiate, consolée par Eric lui-même, fortement mal à l'aise et désolé pour ce qui s'est passé.